fanfanland

               Et alors ?!

La vie parlez moi en donc !...elle n’a d’égale que la mort.

« C’est pas très recherché ! » allez-vous me dire…

Mais c’est vrai ! Je me contente de peux. Ma réflexion régresse, tout comme mon quotient intellectuel.

Mon âme se vide de sens, mon « moi » se cherche tout en se repoussant, mon esprit vole à tout vent, et mon cœur savoure la vie à chaque instant.

Et je m’en fou !!!

Délectation de cette désinvolture qui me fait rimer avec illicite et luxure.

Le mur se rapproche,  de plus en plus, mais rien ne peut me faire changer de direction.

Je me balance pas mal, de devoir vivre sans fortune ! De ne pas avoir un plan de vie programmé sur au moins  40 ans.

Je fais parti de cette génération, cette jeunesse que l’on dit « débauché » et quelque part  j’en suis fier !!

Vous vous préoccupez de mon cas, pour mieux vous cacher derrière votre maquillage qui dissimule votre mal-être.

Vous me reprochez de vivre ma vie comme je l’entends, de trop la vivre comme je l’entends. Mais tout m’ai donné pour, alors pourquoi m’en priverai-je ?

Oui, c’est vrai que je ne me souci pas du lendemain,

Et alors ?! a qui cela nuit-il ? Si ce n’est à votre vie de pauvre terrien bien rangé dans les cases d’une société aussi ridicule que bidon !!

Regardez vous pauvres pions meurtri, le cœur rempli d’amertume de n’avoir pu s’ abandonner a la douceur du mistral et aux moindre moments de bonheur que peut nous offrir la vie , vous etes a la foi triste et blasé !! Et je vous plains tristes robots court-circuités.

Je vis des expériences qui me font avancé et grandir, et encore, vous trouver le moyen de me les reprocher !

Mais seriez vous capable au moins de les vivres ?

Le jugement passif est si facile. C’est si simple de porter un regard crucial sur des choses que l’on ne connaît pas et que l’on aurait peur d’affronter !

Oui, le vent me donne des ailes et me fait traverser la vie a travers ses chemins plus ou moins sombres et épineux, voir même la plupart du temps dangereux !

Oui, la frivolité du monde me souri d’un air vicieux me disant : « suit moi ! »

Oui, bien sur que sans réfléchir  je le suis !

Oui, je me suis jeté dans le tombeau de la décadence.

Oui, sur mon front est tatoué la très célèbre phrase : sexe, drogue et rock n’roll !

Et alors ?! je vous emmerde !!!

Mercredi 18 mai 2005

paris me vient subitement en pleine façe, cela me prend soudainement comme une envie "de pisser" ça y'est j'ai décider, je m'ataque a la capitale (enfin!!!) apres avoir traversé la france en long, en large et en travers (dreux-28- lisieux-14- grenoble-38- et actuellement agen-47-)  je vais posé mes valises a "paname" je ne sais pas encore pour combien de temps (seul l'avenir me le dira) je sais que mon départ pose problème a certains ( vous amis agenais que je n'oublirais jamais et qui je remercie pour ces 2 ans de bonheur, de soutiens, de joie, de peines, de "fiesta" et d'amour...) et vous ceux qui m'aimes et qui ont peur pour moi, ne vous inquiété pas je sais ce que je fais et si je me pète une fois de plus la gueule c'est avec entrain que je me relèveré et continuerai d'avancé.... il me vient depuis ma décisions de partir un passage de mon film préféré en voici le contenu:  "s'en souvenir comme d'hier, décision prise sans préméditation discutant avec une copine et m'entendre dire "moi de toute façon je me casse...je monte a paris" "j'en ai marre de cette vie de merde ou jamais demain ne veut dire quelque chose!" une grande phrase a la con parmis t'en d'autre mais en racrochant me rendre compte que j'allais le faire...pas des paroles en l'air...remplir un sac de choses et d'autres sans importances...quest ce qu'on emmene?...la gare!,la queue au guichet...et un billet de 1ere classe alors que pas une tune!...pour le symbole,pour pas débarquer la-bas comme une putain de crevarde..........J ALLAIS MANGER LA GROSSE VILLE... LA CROQUER A PLEINE DENTS..."                               (marion cotillard, introduction du film : les jolies choses)                                                                                                                                                                                  

je te fait une petite dédicasse, je voulait te remercier pour tes petits commentaires qui me font énormément plaisir, j'aime te parler, enfin plutot t'écrire, par contre j'aime pas que tu m'analyze (lol) j'aime etre avec toi dans notre "maison", bref c'est en toute amitiée que j'embrasse tres fort en te remerçiant d'etre la a mes coté.....

....un jour , les cheuveux au vent, marchant sur le pont "canal" d'agen, m'est venu ce textes, les mots me sont aparu eu rythmes de mes pas...

           Tant qu’il y aura…

Tant qu’il y’aura du vent

Qu’il nous guide en avant

Qu’il berce nos enfants

Alors je pourrai défié le temps

Tant qu’il y’aura de l’eau

Pour nous noyer a ses flots

J’irai toujours plus hauts

Même si il me faut courber le dos

Tant qu’il y’aura de l’espoir

Rien ne nous empêchera de croire

Que l’on peut « être » sans « avoir »

Vivre heureux sans Pouvoir

Tant qu’il y’aura de l’amour

Alors je prierai pour

Que le mien vive un jour

Et qu’il puisse durer toujours

Tant qu’il y’aura des chemins

Pour nous conduire vers demain

En aimant son prochain

Alors j’épongerai mon chagrin

Mais tant qu’il y’aura la guerre

Aucun rire ne fera le tour de la Terre

On vivra tous dans la même galère

Et la vie fera marche arrière…

Le 25 avril 05

Je continue de croire que le meilleur reste à venir…

                              Ma sœur…

Dans tes yeux, je retrouve mon regard

A nous deux, on a la plus belle des histoire

Ce lien que personne ne peut briser,

Ces mains que personne ne peut séparer.

Malgré la distance,

Je sens ta présence.

Ta tête poser sur mon épaule

Les tempêtes ensemble on les contrôle…

  Parce qu’on vient du même endroit

  Parce que ton père c’est le mien

  Et que ma mère c’est la tienne

  Parce que ton sang coule en moi

  Parce qu’ensemble on est si bien

  Et même si nos chemins ne sont pas les        même

  Notre chaleur commune nous sauve du froid

  L’un sans l’autre on est si rien…

  Malgré nos disputes et nos éclats :         « je t’aime »

Nul ne nous connaîtra mieux que nous

Tu m’as vu baisser les bras,              Tomber a genou,

Je t’ai vu pleurer, autant que rire

Tu m’as vu arriver, et puis grandir

Je te serai fidèle pour toujours

Pas besoin de vulgaire bague pour te le prouver

Mon ange, je vois tes ailes depuis mon premier jour,

Je sais  que même au creux de la vague

Tu sauras me relever…

  Parce qu’on vient du même endroit

  Parce que ton père c’est le mien

  Et que ma mère c’est la tienne

  Parce que ton sang coule en moi

  Parce qu’ensemble on est si bien

  Et même si nos chemins ne sont pas les        même

  Notre chaleur commune nous sauve du froid

  L’un sans l’autre on est si rien…

  Malgré nos disputes et nos éclats :         « je t’aime »

Petite, on t’a imposée d’être l’aînée

D’endosser les responsabilité

Tu n’avais rien demander, mais me voila dans ta vie…

Tu as appris à aimer, à partager, en m’offrant tes jouets

Je n’ai faits que m’incruster, sans te demander ton avis.

Aujourd’hui, on a quitté le nid

Et c’est avec une grande nostalgie

Que je replonge à travers ce passé composé

De nos chamailles et nos complicités

Je sais que l’on ne peut revenir en arrière

Notre amour et plus que jamais encré dans nos terres

Mais je tenais a te rappeler a quel point j’étais fier

D’être a jamais ton «  p’tit » frère…

Vendredi 29 avril 2005

  A Charlene…mon autre…

                                           Ainsi va la vie !!!

Faire que ce silence parle enfin…

Faire que cette carapace éclate enfin…

Que chaque parole éponge mon chagrin

Que je puisse me dire « maître de mon destin »

Fabriquer moi-même mes lendemains…

Faire que cette main frappe enfin…

Faire que ce chemin se trace enfin…

Que chaque jours embellissent mon chagrin

Etre capable de serrer les poings

Envisager de grandir un jour prochain…

Parce que trop tôt on m’a demandé de faire mon chemin

Parce que, bien sur, je n’ai aucune carte en mains

Et que, quand bien même je ne peux pas aller bien loin

Car en ayant ce sentiment de n’être qu’un moins que rien

Je ne peux pas être quelqu’un de vraiment bien…

Oui, il m’arrive d’en vouloir à cette salope de vie,

Cette chienne de destinée qui ne fait que me piétiner

J’aimerai prouver par A+B que finalement j’avance

Que contre vent et marée ma « galère » suit le fil de l’eau

C’est évident qu’il m’arrive de boire la tasse

De manquer de me noyer, mais je sort la tête des flots

Certes, j’ai quitté le quai depuis peu. Mais il me tarde

Déjà de rentrer au port…

Des questions?! Bien sur que je m’en pose encore !

Mais quelqu’un sur cette maudite terre est-il capable de me répondre

D’apaiser mon cœur, de calmer mes ardeurs, de rassurer mes peurs ?

Peur ?! C’est évident que j’ai toujours peur !

Mais dois-je m’arrêter sur ces quelques angoisses,

Des minuscules frayeurs…

Pleurer ?! En suis-je encore capable ?

J’ai mis tant de temps pour me construire ce barrage

Que je pense que si je dois le faire céder aujourd’hui

Je risquerai de m’étouffer avec mes sanglots

Avant de m’y noyer,

Tant le nombres de larmes est important dans cette épave qui me sert de corps

Quoi qu’il en soit ne vous sentez pas coupable

Vous n’y êtes pour rien

Alors garder votre soutient et votre compassion

Croyez-moi vous en aurai bien besoin

Le jour ou votre destin

Ressemblera au mien…

(Je ne sais pas pourquoi je raconte tout ça

Peut être car a part un stylo et du papier

Je n’ai rien d’autre…)

Lundi 29 novembre 2004

            Je suis un enfant…

Je suis un enfant de nulle part

Je franchis des terres qui ne sont pas mienne

Je m’enfuis pendant les bagarres

Et j’atterri la ou mon souffle me mène

Ou que j’aille je m’installe

A tout les climats, aux personnalités

Je m’adapte sans grandes difficultés

En sachant bien que quoi qu’il arrive…

Je partirai…

Avec pour seul bagages

Quelques souvenirs et des images

Avec pour seul boulet

Mon âme et toutes ses plaies

Toutes ces failles que le temps

N’a pas su cicatriser

Je les mets de coté et je vais de l’avant.

Je suis un enfant d’ici

Je suis un enfant de las bas

Je suis un enfant, mais de qui ?

Je suis un enfant, enfin je crois !

Je suis un enfant de la pluie

Je suis un enfant du soleil

Je suis un enfant pour la vie :

Accrocher au pays des merveilles…

Avec pour seul bagages

Quelques souvenirs et des images

Avec pour seul boulet

Mon âme et toutes ses plaies

Toutes ces failles que le temps

N’a pas su cicatriser

Je les mets de coté et je vais de l’avant.

Je suis un enfant sans innocence

Je suis un enfant qui grandit

Un enfant qui avance

Un enfant qui a déjà vu des corps ennemi

Venir souillé son lit

Profitant de son ignorance…

Je suis un enfant qui est venu, qui a vu et vaincu

Je suis un enfant que le temps

N’a pas voulu épargner

Un enfant qui connaît le goût du sang

Un enfant qui connaît les rêves brisés

Avec pour seul bagages

Quelques souvenirs et des images

Avec pour seul boulet

Mon âme et toutes ses plaies

Toutes ces failles que le temps

N’a pas su cicatriser

Je les mets de coté et je vais de l’avant.

A toi maman, qui a toujours su me guider

A toi papa, qui a toujours su m’abandonner

A vous parents, qui m’ont créer

Pour mieux m’apprendre à crever…

A toi stabilité, que je forme avec efforts

A toi conscience, qui fait de moi le plus fort

A toi la vie, que je remercie malgré tout…

…encore et encore…

Le 03 mars 05

l'enfance est un immense océan!

     Donne toi un sourire…

Apprendre à rire de soi, c’est un chemin joyeux vers la sérénité.

Un visage a besoin d’un sourire pour communiquer sa beauté.

Le sourire est à la beauté ce que les fleurs sont au printemps

La bonne humeur est la plus belle parure pour aller dans le monde

Un sourire enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne

Personne ne peut mieux sourire qu’un enfant

Une femme qui rit, c’est la plus belle musique au monde

L’usage régulier d’un sourire peut-être bénéfique pour la santé. Abusez-en !

Cela fait longtemps que je ne ris plus, je me contente de sourire

Le rire, c’est la chanson de l’âme. Le sourire, c’est son refrain

Rire et pleurer sont deux jumeaux assez proches de la pureté

Pour rajeunir un visage, il est un traitement a la fois aisé et efficace : le sourire

    L’éclat d’un sourire

Sourire pour vivre

L’instant d’un éclair

Dans le feu de la vie

Voler toujours voler

Au balcon du monde

Se donner dans la joie

Avec la beauté de l’azur

Au visage de l’autre

     Notre frère

Dans la fleur des jour

Enfants comme les enfants

     Et rêver…

      Giovanni Dotoli

                                     Le 14 avril 2005